Quatrains d'al-Zeituni, Livre V, II

Un article de Caverne des 1001 nuits.


O Dieu, que de chemins égarent, que Tes pièges sont subtils

Différents voiles encadrent différentes impasses

Je me suis perdu et Tu m'as retrouvé

L'égaré ne peut comprendre qu'il s'égare sans Toi





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