Quatrains d'al-Zeituni, Livre V, XVII

Un article de Caverne des 1001 nuits.


Par l'épuisement, je Te rejoins parfois quand je Te perds, désespéré

Tout pleure en moi, une fontaine s'écoule

Puis Tu reviens, Miséricordieux

Pardonne-moi, mais Tu ne m'as pas fait de l'étoffe des Saints





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