Quatrains d'al-Zeituni, Livre IV, XXIX

Un article de Caverne des 1001 nuits.


Combien sont lourdes les chaînes invisibles que Tu nous fait porter

Combien est profond notre égarement dès que nous pensons exister

Plus proche de Toi, je reste sans voix, écrasé, non existant

Quels présents sublimes que tes poids aux âmes qui oublient d'exister !



Navigation
Précédent - Suivant