Une pensée, par Ibrahims Kone
Un article de Caverne des 1001 nuits.
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- | :Je regarde dans le vide une mélancolie dans l’âme | ||
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+ | :Je regarde dans le vide une mélancolie dans l’âme | ||
:C’est à toi que je pense, tu es devenue ma source | :C’est à toi que je pense, tu es devenue ma source | ||
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:Chaque mot de toi me transporte de joie dans la grande ourse | :Chaque mot de toi me transporte de joie dans la grande ourse | ||
+ | :Et tes moments de tristesse me déchirent comme une lame | ||
- | :Et tes moments de tristesse me déchirent comme une lame | ||
:Tu es mon vin, ma vraie consolation | :Tu es mon vin, ma vraie consolation | ||
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:Tu es l’Amour, le secret de mon imagination | :Tu es l’Amour, le secret de mon imagination | ||
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:Tu es l’Amie Amante, l’objet de mes désirs | :Tu es l’Amie Amante, l’objet de mes désirs | ||
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:Tu es le silence dans lequel je soupir | :Tu es le silence dans lequel je soupir | ||
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:Donne moi ta douleur que je la porte à ta place | :Donne moi ta douleur que je la porte à ta place | ||
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:Prend toutes mes joies, n’en laisse aucune trace | :Prend toutes mes joies, n’en laisse aucune trace | ||
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:Donne-moi tes craintes les plus insupportables | :Donne-moi tes craintes les plus insupportables | ||
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:Prends donc mes joies les plus agréables | :Prends donc mes joies les plus agréables | ||
- | :Si tu étais le feu, je serais le bois | ||
+ | :Si tu étais le feu, je serais le bois | ||
:Si tu étais la corde, je serais le pendu | :Si tu étais la corde, je serais le pendu | ||
- | |||
:Si tu étais la rigueur, je serais la loi | :Si tu étais la rigueur, je serais la loi | ||
+ | :Si tu étais l’immensité, je serais l’étendue | ||
- | :Si tu étais l’immensité, je serais l’étendue | ||
:Pour mourir en toi et vivre par toi | :Pour mourir en toi et vivre par toi | ||
- | |||
:Etre Imbécile et heureux à la fois | :Etre Imbécile et heureux à la fois | ||
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:Est-ce donc de l’Amour ou de la fusion | :Est-ce donc de l’Amour ou de la fusion | ||
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:Seul le silence enlèvera cette confusion. | :Seul le silence enlèvera cette confusion. | ||
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Version actuelle
- Je regarde dans le vide une mélancolie dans l’âme
- C’est à toi que je pense, tu es devenue ma source
- Chaque mot de toi me transporte de joie dans la grande ourse
- Et tes moments de tristesse me déchirent comme une lame
- Tu es mon vin, ma vraie consolation
- Tu es l’Amour, le secret de mon imagination
- Tu es l’Amie Amante, l’objet de mes désirs
- Tu es le silence dans lequel je soupir
- Donne moi ta douleur que je la porte à ta place
- Prend toutes mes joies, n’en laisse aucune trace
- Donne-moi tes craintes les plus insupportables
- Prends donc mes joies les plus agréables
- Si tu étais le feu, je serais le bois
- Si tu étais la corde, je serais le pendu
- Si tu étais la rigueur, je serais la loi
- Si tu étais l’immensité, je serais l’étendue
- Pour mourir en toi et vivre par toi
- Etre Imbécile et heureux à la fois
- Est-ce donc de l’Amour ou de la fusion
- Seul le silence enlèvera cette confusion.
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