Message, par Ibrahims Kone
Un article de Caverne des 1001 nuits.
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- | A toi je pourrai dire ces mots dont le sens est plein d’ivresse | ||
- | Dans ton sommeil je suis la sentinelle qui veille sans paresse | ||
- | A ton réveil, je suis le miroir qui te transmet l’image de la vie | + | :A toi je pourrai dire ces mots dont le sens est plein d’ivresse |
+ | :Dans ton sommeil je suis la sentinelle qui veille sans paresse | ||
+ | :A ton réveil, je suis le miroir qui te transmet l’image de la vie | ||
+ | :Je te suis pas à pas dans les décombres de tes joies et de tes envies | ||
- | Je te suis pas à pas dans les décombres de tes joies et de tes envies | ||
- | A toi je pourrai murmurer ces mots tristes et insensés | + | :A toi je pourrai murmurer ces mots tristes et insensés |
+ | :Dans les recoins de tes souvenirs je suis le soldat sans désir | ||
+ | :A ton chevet je suis la mélodie, des demeures encensées | ||
+ | :Je te suis pas à pas dans les méandres de tes extases et de tes délires | ||
- | Dans les recoins de tes souvenirs je suis le soldat sans désir | ||
- | + | :Regarde la porte grande ouverte du destin | |
+ | :Elle t’invite sans aucun doute au grand festin | ||
+ | :Celui où seuls ceux qui sont amoureux peuvent prendre place | ||
+ | :Et de leur repas il ne restera aucune trace | ||
- | Je te suis pas à pas dans les méandres de tes extases et de tes délires | ||
- | + | :Vole hors de cette cage où tu t’es enfermé dans la confusion | |
+ | :Les barres ne sont réelles que pour ceux qui voient | ||
+ | :Devient aveugle et tu verras qu’elles ne sont qu’illusion | ||
+ | :Et la réalité de la liberté plus jamais ne sera pareille pour toi. | ||
- | Elle t’invite sans aucun doute au grand festin | ||
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Version actuelle
- A toi je pourrai dire ces mots dont le sens est plein d’ivresse
- Dans ton sommeil je suis la sentinelle qui veille sans paresse
- A ton réveil, je suis le miroir qui te transmet l’image de la vie
- Je te suis pas à pas dans les décombres de tes joies et de tes envies
- A toi je pourrai murmurer ces mots tristes et insensés
- Dans les recoins de tes souvenirs je suis le soldat sans désir
- A ton chevet je suis la mélodie, des demeures encensées
- Je te suis pas à pas dans les méandres de tes extases et de tes délires
- Regarde la porte grande ouverte du destin
- Elle t’invite sans aucun doute au grand festin
- Celui où seuls ceux qui sont amoureux peuvent prendre place
- Et de leur repas il ne restera aucune trace
- Vole hors de cette cage où tu t’es enfermé dans la confusion
- Les barres ne sont réelles que pour ceux qui voient
- Devient aveugle et tu verras qu’elles ne sont qu’illusion
- Et la réalité de la liberté plus jamais ne sera pareille pour toi.
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