Critique de la philosophie

Un article de Caverne des 1001 nuits.

Nous allons, dans cet article, nous attaquer à un tabou de notre société occidentale : la philosophie. Nous allons décrire et tenter de montrer comment la philosophie, dans son approche formelle et livresque, ne peut qu'être limitée dans ses fruits, bien que pratiquée par des gens dont l'intelligence n'est pas à remettre en cause.

Cet article porte sur un certain nombre de points formels de l'approche philosophique que le lecteur pourra, à loisir, tenter d'appliquer à d'autres domaines de la connaissance, notamment au sens où ce mot est généralement accepté dans le monde occidental.

Sommaire

Approche formelle de la pratique philosophique

Structure de la pratique philosophique

La pratique de la philosophie se présente formellement toujours de la même façon. On y trouve :

  • un acteur : le philosophe,
  • un corpus philosophiques, dont la matérialisation est un ensemble de textes et qui porte souvent le nom de bibliographie.

Nous nommerons corpus de la philosophie l'ensemble des textes dits philosophiques. Ces textes peuvent être aussi des textes littéraires[1]

Les différents « genres » de philosophie

Quand on parle de « genres » de philosophies, on signifie :

  • un philosophe rattaché ou non à une « école de pensée »,
  • un corpus philosophique qui est un sous-ensemble du corpus de la philosophie.

Ainsi, les différents genres de philosophie ont tous la même structure, sauf que le philosophe peut ou non se rattacher à une école de pensée, et qu'il peut décider de « choisir » des textes au sein du corpus de la philosophie.

La légende du choix argumenté

Nous noterons donc que chaque philosophe, dès lors qu'il s'exprime se positionne face à double choix (pas toujours conscient d'ailleurs) :

  • le choix de l'école de pensée,
  • le choix du corpus philosophique qui est un sous-ensemble du corpus de la philosophie.

Derrière ces deux choix, nous retrouvons la personnalité du philosophe, en tant qu'il est un être humain.