Sales temps, par Ibrahims Kone

Un article de Caverne des 1001 nuits.

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-J’hésite, tout chancelle et bascule dans le noir ; 
-Une succession d’images sournoises, illusions indélicates ; 
-Il fait vent dans ma conscience endolorie de stigmates ;+:J’hésite, tout chancelle et bascule dans le noir ;
 +:Une succession d’images sournoises, illusions indélicates ;
 +:Il fait vent dans ma conscience endolorie de stigmates ;
 +:Un vent glacial et froid, frais frison frénétique du soir ;
-Un vent glacial et froid, frais frison frénétique du soir ;  
-La lampe de ma mémoire frémi, elle va s’éteindre ;+:La lampe de ma mémoire frémi, elle va s’éteindre ;
 +:Longtemps sous ce temps de pendu, seul, j’ai dû attendre
 +:Je ne sais quoi de divin qui ranime les souvenances ;
 +:Rien, même pas une injure, un cri sans conséquences ;
-Longtemps sous ce temps de pendu, seul, j’ai dû attendre 
-Je ne sais quoi de divin qui ranime les souvenances ;+:Le silence, la sentence, la potence, la repentance
 +:Vois, mon cœur comme ils les réclament d’une voix ;
 +:Ces vauriens d’un obscure artiste sans foi, sans voie
 +:La belle époque du repos éternel a-t-elle prit ces distances ?
-Rien, même pas une injure, un cri sans conséquences ;  
-Le silence, la sentence, la potence, la repentance+:Ils ne me répondront pas car comme toi ils dorment ;
 +:Plongé dans des assertions sans racines certaines
 +:La croix ou le croissant sous leurs ignorances mondaines ;
 +:Sale temps pour tous les Jésus pris dans leurs normes.
-Vois, mon cœur comme ils les réclament d’une voix ; 
-Ces vauriens d’un obscure artiste sans foi, sans voie+{{Kone|Qui suis-je|Précédent|Seigneur|Suivant}}
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-La belle époque du repos éternel a- t-elle prit ces distances ? +
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-Ils ne me répondront pas car comme toi ils dorment ;+
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-Plongé dans des assertions sans racines certaines+
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-La croix ou le croissant sous leurs ignorances mondaines ;+
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-Sale temps pour tous les Jésus pris dans leurs normes. +
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-{{Kone}}+

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J’hésite, tout chancelle et bascule dans le noir ;
Une succession d’images sournoises, illusions indélicates ;
Il fait vent dans ma conscience endolorie de stigmates ;
Un vent glacial et froid, frais frison frénétique du soir ;


La lampe de ma mémoire frémi, elle va s’éteindre ;
Longtemps sous ce temps de pendu, seul, j’ai dû attendre
Je ne sais quoi de divin qui ranime les souvenances ;
Rien, même pas une injure, un cri sans conséquences ;


Le silence, la sentence, la potence, la repentance
Vois, mon cœur comme ils les réclament d’une voix ;
Ces vauriens d’un obscure artiste sans foi, sans voie
La belle époque du repos éternel a-t-elle prit ces distances ?


Ils ne me répondront pas car comme toi ils dorment ;
Plongé dans des assertions sans racines certaines
La croix ou le croissant sous leurs ignorances mondaines ;
Sale temps pour tous les Jésus pris dans leurs normes.


Ibrahims


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